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--- partie_2_-_propagation [2025/12/14 14:26] – [Les rats des égouts (mission 2)] squale
+++ partie_2_-_propagation [2025/12/14 14:27] (current) – [La couleur de la mort (mission 3)] squale
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 ==== La couleur de la mort (mission 3) ====
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 Le lendemain, en matinée, [[Loril Sombreracine]] était occupé à faire du repérage dans un quartier pour trouver un autre lieu où voler des bourses, et ce faisant, il entendit des rumeurs parlant d'un lieu où on vendrait un remède miracle contre le **[[Voile de Sang]]**, la maladie qui fait rage en ce moment dans les rues de la ville. En allant sur place, il découvrit une boutique dans le quartier de la Pointe Nord où il y avait presque une centaine de gens qui faisaient la file. En demandant pourquoi, il semblerait que la patronne d'une parfumerie nommée "Aux liniments luxuriants de Lavande" soit en train de vendre le remède miracle au prix dérisoire de 15 pièces d'argent, ce qui provoque des files interminables (à la fois de gens malades qui viennent chercher un remède moins cher que les tarifs pratiqués par le temple d'Abadar et par des gens sains qui préfèrent prévenir que guérir). Loril fait donc la file lui aussi et après une bonne heure, arrive dans la boutique et achète un exemplaire du remède.
 De retour à la planque, Loril informe ses compagnons de la vente et commence à analyser le produit, et il découvre rapidement que c'est juste de l'eau parfumée à la lavande. Nos héros se rendent donc à la Citadelle pour voir leur alliée [[Cressida Kroft]] qui leur dit qu'elle apprécierait que nos héros enquêtent et agissent "officieusement" pour intervenir contre cette arnaque, et leur confie deux hommes pour les accompagner jusqu'au magasin.
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 De retour au magasin, les héros font un peu de grabuge devant la boutique, ce qui pousse les gros bras et leur patronne à sortir. Les héros clament que c'est de l'arnaque, et elle prétend que non, elle a même un témoin dans l'arrière boutique, le vieux Robert, qui atteste avoir été guéri par le remède de Lavande ! Mais en le prenant à l'écart, Steinbeis parvient à lui faire admettre (non sans le menacer d'exil en cas de mensonge de sa part) que c'est une supercherie et qu'il est payé par la patronne pour raconter des bobards.